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dimanche 3 novembre 2013

Sam Claflin en couverture du magazine Status


Sam Claflin est en couverture du magazine Status de ce mois-ci et l'interprète de Finnick parle de son rôle dans L'Embrasement, de sa carrière et de ses attentes pour 2014. 


Mais c’est le dernier rôle de Sam en Finnick Odair dans Hunger Games : L’Embrasement qui voue à le faire connaître alors qu’il se met dans la peau dans ce qu’il décrit comme « un dieu du sexe grand, blond, athlétique, bronzé, musclé et aux yeux verts, » qu’il admet être très différent de lui, en tant qu’ « anglais pâle, de taille moyenne aux cheveux châtain et mal rasé. » Il dit : « Je me sentais un peu comme un surfeur et étant donné que je vis à Londres et que je n’ai jamais fait de surf, c’était assez difficile. » Pourtant, Sam admet qu’il « ne s’est jamais senti mieux dans sa peau qu’en interprétant Finnick Odair. »

Mais évidemment, tu interprètes ce dieu du sexe grand et blond. Pourquoi ne te sentirais-tu pas bien dans ta peau ? [Rires]
Je sais ! J’ai vraiment l’impression que ce n’est pas ce que je représentais, même quand j’étais transformé. Mais néanmoins, je fais partie de ces gens qui sont assez mal dans leur peau. Je ne suis pas très à l’aise : je ne suis pas comme les gens qui peuvent aller à la plage et se mettre torse nu pour un oui ou pour un non. C’est l’avantage d’avoir un coach personnel au quotidien, toute la journée, et une équipe de gens qui vous maintiennent dans la meilleure forme physique de votre vie parce que là, oui, on se sent forcément bien pour la première fois. Le fait de retrouver ce sentiment est un tout autre problème.

Ça devient de plus en plus dur d’être un jeune acteur britannique dans l’industrie. Tu es non seulement très demandé, mais il y a tellement de jeunes de ton âge qui sont doués et qui veulent obtenir les mêmes rôles.
Ce plus dur dans la compétition dans l’industrie du cinéma et la concurrence à laquelle je dois faire face pour un rôle est que ce sont en général des amis à moi, des collègues et des gens avec qui je travaille ou avec qui je veux travailler, ou simplement que j’ai appris à connaître parce que nous sommes britanniques. [Rires] On cherche tous les mêmes rôles. Mais ce n’est jamais une compétition [dans le sens traditionnel]. Je suis heureux d’apprendre que des amis ont obtenu des rôles. De temps en temps, je reçois un scénario et je me dis : « Tu sais quoi ? Je ne suis pas vraiment fait pour ce rôle mais mon ami est parfait ! »
Ça fait du bien de savoir qu’on perd ce rôle pour quelqu’un qui le mérite, plutôt qu’un inconnu qui ne sait même pas jouer. Je ne suis ami qu’avec des gens qui savent jouer. [Rires]

Étant donné que L’Embrasement est l’un des projets les plus excitants à l’idée d’en faire partie, surtout aussi tôt dans ta carrière, est-ce que cela te manque de faire du théâtre dans des pièces dramatiques de la BBC ?
Je n’ai absolument et définitivement pas perdu mon amour pour le théâtre. La nuit dernière, je suis allé voir un ami dans une pièce dans l’Ouest de Londres et j’ai été complètement impressionné par l’habileté que requiert le fait de jouer sur scène et je veux définitivement retrouver ça sur scène.
Évidemment avec la vague que je surfe en ce moment et avec l’excitation à venir, on peut espérer que ça va m’ouvrir des portes dans l’industrie du film. Je ne veux pas tout gâcher en retournant sur scène pendant sept mois. Mais avec le bon rôle, le temps nécessaire et le bon metteur en scène, ainsi que le bon spectacle, je serais définitivement heureux de retourner sur les planches.
Quant aux plus petites productions : jusqu’ici mon CV est rempli de franchises et sans offenser ce genre de productions, mais je voudrais définitivement m’en éloigner pour explorer d’autres films.
Cette année, j’ai tourné une petite comédie romantique avec Lily Collins… et ensuite j’ai eu une journée de repos avant de me plonger dans une histoire très anglaise dans un film très indépendant. C’est drôle parce que [les acteurs] sont en majorité mes compétiteurs pour des rôles. Dooglas Booth y est, tout comme Max Irons. On est un peu en mode : « Oh, on est tous là-dedans, » au lieu d’être en concurrence les uns les autres. J’ai terminé ce tournage il y a une semaine et ce sont des rôles très différents pour moi, donc je suis très excité de partager ça avec le monde, tout autant que pour Finnick Odair.

Le dernier film dont tu parlais est une adaptation du roman de Laura Wade, Posh, c’est ça ?
C’est bien ça. Posh était génial, en partie parce que c’est basé sur l’histoire de ces ados qui sont dans un club et ils doivent tous s’entendre.
Je connais Max depuis un petit moment maintenant, tout comme Doug. En fait, j’en connaissais très bien sept d’entre eux sur les dix avant de commencer le tournage. On s’est tous très bien entendus et on a passé beaucoup de temps ensemble. Je n’ai jamais connu ça à Londres.
Normalement, quand je tourne à Londres, je retourne chez moi avec ma vie normale et mes amis normaux et ma famille et ensuite je vais travailler avant de rentrer chez moi à la réalité. Mais pour celui-là, on a passé beaucoup de temps ensemble pendant notre temps libre. On s’est tous vraiment bien entendus.

L’un des plus gros clichés sur les acteurs anglais est qu’ils sont tous chics [‘posh’ en anglais, ndlr]. Quels sont les autres clichés que les gens ont sur vous, selon toi ?
C’est définitivement l’un des clichés que j’aime le moins. Je crois que ça fait partie des choses qui montrent que la culture américaine est très tournée sur Downton Abbey. Ce n’est pas un portrait de notre façon de vivre en Angleterre. Je suis très loin d’être chic. Je ne pourrais pas en être plus éloigné, c’est pourquoi Posh était un vrai défi.

Quels sont les autres clichés ?
À vrai dire, je ne sais pas. Vu que je n’habite pas dans cette société, c’est difficile pour moi de savoir que ce les gens pensent ou s’attendent de nous. Est-ce que vous pensez que nous sommes tous doués au lit ? [Rires] Je ne sais pas !

Tu as également mentionné la comédie romantique où tu joues avec Lily Collins.
Je n’avais jamais rien fait de moderne donc c’est la première opportunité pour moi d’être moi-même et de parler normalement et de garder ma coupe de cheveux. Il n’y a pas eu de longueurs ou de couleurs, cette fois-ci. C’était bizarre mais une expérience vraiment fantastique de pouvoir jouer mon propre personnage. Et bien sûr, vu que je suis anglais, je dois être drôle.

De quoi as-tu le plus hâte en 2014 ?
Ça a l’air bête mais ce dont j’ai le moins hâte est la fin de Hunger Games. On s’est tellement amusés sur le premier film que je ne veux pas que le tournage se finisse… Je sais que je vais le faire pendant un petit moment, et puis ensuite il y a la sortie du prochain film à la fin de l’année prochaine, mais je n’ai aucune idée de la direction que va prendre ma carrière dans cinq ans. Je suis juste impatient de découvrir ce qu’il va se passer.
Avec de la chance, je ne serai pas assez dans mon appartement à Londres, en train de pleurer en m’endormant.  


6 commentaires:

  1. Si je comprend bien on va changer de Finnick pour la Révolte ? O.O

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    1. Pas du tout ;) Il parle de la fin du tournage des deux parties, qui est déjà en cours mais qui devrait se terminer début 2014.

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  2. Je ne comprend pas trop, ils disent "Mais c’est le dernier rôle de Sam en Finnick Odair dans Hunger Games", mais si il fait dans les deux films....

    Toute façon il n'y aura pas de H.G 4 !

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    1. Non mais La Révolte est en deux parties !! Trop Cooooooooooooool !! :D

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  3. Ah ok !
    Donc, Sam fera juste l'embrasement et la révolte part 1 !

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    1. Je ne sais pas trop ... sa dépend à quel moment se finit la partie 1 car ..

      ATTENTION SPOILE POUR CEUX QUI ONT PAS LU LA REVOLTE !!!!!!!!!!!!




      Finick meurt dans la révolte .. :( mais bon c'est vers la fin donc je pense qu'il sera aussi au début de la part 2 !

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