Dans une nouvelle interview avec le LA Times, Jennifer Lawrence a notamment parlé de son prochain rôle dans Serena, mais également de L'Embrasement.
Courir dans une arène pour tuer des
adolescents sous les yeux de spectateurs en extase n’a pas (on l’espère)
beaucoup de rapport avec le monde dans lequel nous vivons. Mais Jennifer
Lawrence –qui joue bien sûr Katniss Everdeen dans ladite arène de Hunger Games— pense que la suite du film
sera très semblable.
« Le nouveau film sera très vrai, ce
dont je suis très excitée, » a-t-elle dit à 24 Frames de L’Embrasement, que Francis Lawrence va
réaliser. « J’aime vraiment sa vision, qui ressemble beaucoup à ce que
j’aimais chez Gary Ross, » ajoutait-elle. « C’est le côté réaliste de
l’histoire plutôt que tous les détails des choses imaginaires. »
Lawrence a raconté avoir rencontré le
réalisateur et pense que, par dessus tout, il essaie de continuer ce que Ross a
commencé avec sa première adaptation du premier livre de la série de Suzanne
Collins. « Il n’essaie pas de réinventer quoi que ce soit. »
L’actrice commence le tournage de L’Embrasement cet automne, dont la
sortie en salles est prévue pour novembre 2013. Pendant ce temps, l’actrice
nominée aux Oscars sera l’objet d’affection de plusieurs hommes.
Elle a récemment tourné Serena, un drame romantique qui se déroule pendant la Grande
Dépression en Caroline du Nord dans lequel elle joue Serena Pemberton, la femme
pas exactement sympathique d’un magnat du bois (Bradley Cooper), tout en étant
l’objet des affection d’un autre homme (Rhys Ifans) –un homme qui deviendrait
violent quand les choses ne se déroulent pas comme il l’atend. Lawrence décrit
l’histoire comme étant une « histoire d’amour compliquée. » Réalisé
par Susanne Bier et produit par 2929 Prods de Mark Cuban, le film n’a pas
encore de distributeur américain.
Lawrence, qui est plutôt restée dans des rôles
situés dans des temps modernes (ou futurs), dit qu’elle s’est très bien sentie
dans cette période.
« Quand on porte des talons hauts, on se
sent plus chic. Ça change tout, même la façon dont on se déplace. »
Mais Lawrence a également trouvé que Serena était un soulagement après les héroïnes
de Hunger Games et de Winter’s Bone.
« Ça fait du bien de ne pas avoir à
trouver d’excuses à son personnage, de ne pas avoir à tout rationnaliser. Il y
a quelque chose de libérateur dans le fait de danser dans une pièce sans
réfléchir. »
Source : The Hob
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