Je vous postais hier des photos et un extrait de l'interview de Jennifer Lawrence dans le numéro de juin de Marie Claire ; en voici désormais une vidéo des coulisses et l'intégralité de son interview.
Lawrence a pour règle de ne jamais parler de
sa relation depuis trois ans avec Nicholas Hoult, sa costar dans X-Men qui interprète Hank McCoy/Beast.
Ce qui irait, si elle était le genre de personne à s’en tenir aux règles. Hoult
est son quatrième ou cinquième petit ami, dit-elle, après Huck, John et
Michael, et probablement un autre qu’elle a oublié et qui sera dévasté de lire
ça dans un magazine national. Je demande à Lawrence ce qui l’attire. « Le
physique aide beaucoup, » dit-elle. « Personne ne peut résister à un
joli visage. Heureusement, j’en ai un. »
En effet, elle en a un. Mais, euh,
pardon ?
« Oh non ! Je veux dire mon
copain ! Je ne parlais pas de mon visage, oh mon Dieu ! Je voulais
dire que je suis avec quelqu’un qui a un beau visage. » L’actrice grimace,
imaginant sans doute la citation mise en avant sur les magazines du monde
entier : « Jennifer Lawrence : ‘J’ai un beau
visage !’ »
En tout cas, le physique ne fait pas tout,
ajoute Lawrence. « L’humour et l’intelligence sont la clé. Le physique ne
dure pas. J’aime un esprit unique. Quelqu’un qui soit lui-même. »
Maintenir une relation longue distance peut
s’avérer compliqué, reconnaît-elle. « C’est difficile quand on travaille
tous les deux. C’est important de garder son espace personnel quand on est en
couple et de garder sa propre vie. » Plutôt que de Skyper régulièrement,
dit-elle, « Quand on est occupés, on est tous les deux d’accord pour
s’ignorer. Pas complètement, mais on ne s’énerve pas si l’autre ne répond pas
aux textos ou aux appels. On est très occupés. Évidemment, on sait ce que
l’autre fait et on se fait confiance. On est tellement jeunes que si on vivait
dans la même ville, que ferait-on ? On emménagerait ensemble. Au moins
comme ça, on est tous les deux sur la même longueur d’onde : on peut tous
les deux sortir et mener notre vie tout en sachant qu’on a l’un l’autre.
Pourquoi je parle de ma relation ? Mon dieu… »