Comme je vous l'annonçais hier, Jennifer Lawrence est en couverture du magazine Première de ce mois-ci ; voici donc les scans du nouveau photoshoot et un extrait de son interview.
Retrouver le
personnage de Katniss Everdeen, c’est comment ? Y a-t-il un côté excitant à l’idée
de pouvoir faire grandir un personnage sur plusieurs films, plusieurs années ?
Oui, d’autant que, avant même de tourner les films, j’ai toujours fait un parallèle entre la vie de Katniss et la mienne. Quand j’ai lu la trilogie Hunger Games, j’avais 19 ou 20 ans. C’était à l’époque de la sortie de Winter’s Bone et je commençais tout juste à découvrir le milieu du cinéma. On m’invitait à des réceptions, je portais plein de jolies robes et je ne pouvais pas m’empêcher de penser à l’arrivée de Katniss au Capitole, quand elle devient le centre de l’attention. Dans L’Embrasement, Katniss connaît désormais les règles, elle est moins intimidée, les gens l’ont adoptée. J’ai l’impression que c’est un peu mon cas à Hollywood aujourd’hui.
Oui, d’autant que, avant même de tourner les films, j’ai toujours fait un parallèle entre la vie de Katniss et la mienne. Quand j’ai lu la trilogie Hunger Games, j’avais 19 ou 20 ans. C’était à l’époque de la sortie de Winter’s Bone et je commençais tout juste à découvrir le milieu du cinéma. On m’invitait à des réceptions, je portais plein de jolies robes et je ne pouvais pas m’empêcher de penser à l’arrivée de Katniss au Capitole, quand elle devient le centre de l’attention. Dans L’Embrasement, Katniss connaît désormais les règles, elle est moins intimidée, les gens l’ont adoptée. J’ai l’impression que c’est un peu mon cas à Hollywood aujourd’hui.
Tourner la
suite d’un film qui a été un énorme succès, est-ce un challenge ou y a-t-il déjà
une forme de routine qui s’installe ?
Sur le premier Hunger Games, on était tous très nerveux car on savait qu’on était attendus au tournant par les fans. Ils avaient une idée très précise de la façon dont cet univers devait être porté à l’écran. Comme le film a été bien reçu, ça nous a permis d’aborder assez sereinement ce nouveau volet. Mais il faut bien sûr rester concentré. Se dire que les choses vont être plus faciles parce qu’on connaît bien le personnage, c’est le meilleur moyen de se planter. Le challenge était donc de préserver la magie du premier tout en proposant une expérience inédite. Dans L’Embrasement, tout se veut plus cool, plus impressionnant.
Sur le premier Hunger Games, on était tous très nerveux car on savait qu’on était attendus au tournant par les fans. Ils avaient une idée très précise de la façon dont cet univers devait être porté à l’écran. Comme le film a été bien reçu, ça nous a permis d’aborder assez sereinement ce nouveau volet. Mais il faut bien sûr rester concentré. Se dire que les choses vont être plus faciles parce qu’on connaît bien le personnage, c’est le meilleur moyen de se planter. Le challenge était donc de préserver la magie du premier tout en proposant une expérience inédite. Dans L’Embrasement, tout se veut plus cool, plus impressionnant.
L’été
dernier, vous êtes allée au Comic-Con de San Diego pour montrer les premières
images du film et signer des autographes. Pouvez-vous nous faire le
portrait-robot du fan type de Hunger Games ?
Déjà, c’est une fille. (Rire). Les plus jeunes, celles qui ont dans les 10 ans, sont très polies, très disciplinées. Les ados, elles, ont un peu moins de self-control.
Déjà, c’est une fille. (Rire). Les plus jeunes, celles qui ont dans les 10 ans, sont très polies, très disciplinées. Les ados, elles, ont un peu moins de self-control.
Quelle était
votre idole quand vous aviez leur âge ?
Harry Potter. J’ai lu tous les livres deux fois. Quand je vois les fans hurler au Comic-Con, je me dis que j’aurais été dans le même état si j’avais croisé Daniel Radcliffe à 15 ans…
Harry Potter. J’ai lu tous les livres deux fois. Quand je vois les fans hurler au Comic-Con, je me dis que j’aurais été dans le même état si j’avais croisé Daniel Radcliffe à 15 ans…
Merci à invokeur pour les scans et à Lawrence France pour l'article !
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